L’une de mes ambassadrices se fait plus de 1600€ par mois, en plus du revenu de son emploi classique. Sinon, nos ambassadrices tournent globalement autour de 200, 300, 400€ par mois en plus de leur salaire grâce aux ventes Ozentya.
Contrôle d’identité, s’il vous plaît ?
Pascal Chaubo, j’ai 43 ans, je suis de la Guadeloupe et de la Martinique. Je suis le créateur de la marque Ozentya et je suis en train de lancer mon réseau de VDI (vendeurs à domicile indépendants).
Pourquoi avoir créé Ozentya ?
À la base, j’étais distributeur d’une marque de cosmétiques américaine. Cela fonctionnait très bien, puis nous avons eu quelques problèmes au niveau de la règlementation française. Je me suis dit pourquoi ne pas créer ma propre marque, avec les bonnes normes et tout serait « carré ». Cela fait maintenant 10 ans. La pousse du cheveu afro a été notre fer de lance. L’Extrême Repousse d’Ozentya a été notre produit phare et il l’est toujours. Entre temps, nous avons agrandi notre gamme et développé des produits complémentaires, ainsi que des produits pour la peau et le visage. Mais effectivement, on s’est fait connaître du grand public pour la pousse du cheveu.
Et désormais le développement d’un réseau de vendeurs indépendants…
Beaucoup de personnes nous appelaient sur la base de clientes qui nous avaient recommandés, surtout en matière de repousse du cheveu. « J’ai proposé vos produits à d’autres personnes, c’est merveilleux, etc ». Je me suis dit : « Ok, c’est bien qu’elles nous recommandent et aiment nos produits, mais ce serait encore mieux qu’elles gagnent de l’argent en le faisant ». C’est ainsi que j’ai mis en place un système d’ambassadrices Ozentya. Je peux permettre à des personnes de gagner de l’argent en parlant de produits qu’ils connaissent déjà et ont validé, tout en s’amusant. C’est une fierté que des gens puissent gagner de l’argent grâce aux 10 années de travail que j’ai réalisées sur la marque. Lorsque je livrais des produits Ozentya à certaines clientes, j’ai rencontré des mamans célibataires, dont le quotidien n’était pas tous les jours forcément faciles et je voulais qu’elles aient une vie meilleure. Ma mission est de développer ce réseau de vendeuses à domicile Ozentya et leur permettre ainsi de pouvoir s’octroyer des compléments de revenus.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Les ambassadrices Ozentya ont un kit de démarrage. Dans un premier temps, elles présentent les produits à leur entourage, puis elles sont commissionnées sur leurs ventes. Elles nous achètent les produits car elles sont indépendantes et, derrière, elles bénéficient d’une remise. Ce qu’elles gagnent est donc la différence entre la remise et le prix de vente. Elles peuvent parrainer, recruter et faire leurs propres réseaux de vendeuses. Les produits Ozentya sont disponibles pour tout type de peau, tout type de cheveu, mais nos clients sont principalement des Afros et métissées. Ainsi, nous sommes les premiers à avoir lancé un réseau sur ce marché de niche, à savoir la communauté afro-caribéenne.
Faut-il avoir des compétences particulières ?
Notre directrice commerciale, Valérie Bertrand, s’occupe de la formation et de l’accueil des ambassadrices. Elles bénéficient d’une formation produit, une formation aux techniques de vente, puis un suivi personnalisé. Il n’y a pas besoin de background particulier, simplement avoir l’amour de l’univers de la beauté et avoir envie de gagner des compléments de revenus. J’ai d’ailleurs l’une de mes ambassadrices qui se fait plus de 1600€ par mois, en plus du revenu de son emploi classique. Sinon, nos ambassadrices tournent globalement autour de 200, 300, 400€ par mois en plus de leur salaire grâce aux ventes Ozentya. Se faire 3 ou 4000€ en plus, sur l’année, ce n’est vraiment pas négligeable, surtout dans la période actuelle !
Comment entrer en contact avec vous ?
Sur le site www.ozentya-vdi.com vous trouverez toutes les instructions.
Numéro spécial Karayib. Quel cela réprésente-t-il ?
Je suis originaire des Caraïbes, c’est ma culture, c’est une force, mais j’englobe toujours l’Afrique à mon identité. Ozentya est présent dans les grands magasins en Outre-Mer, en Guadeloupe et Guyane. Nous sommes également présents au Sénégal dans des pharmacies.
Pour l’instant, le réseau VDI se concentre sur la France métropolitaine, même si nous avons quelques ambassadrices en Guadeloupe. Je veux déjà consolider tout le travail énorme qu’il y a à faire ici. Rien que si on prend un département comme le 93, le chantier est énorme ! Mais la Caraïbe fait évidemment partie de ma réflexion.
Si je vous dis « Roots », vous me répondez ?
L’authenticité et la fierté.
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